valvulaire - terrasseux - lanlaire - pantograveur - réattribution - leptite - perçoire - thiophosgène - sclérote - … Olferev, a remplacé Maliouta Skuratov. Par la suite, le tsar demande à la Confédération livonienne de payer environ 6 000 marks pour conserver l'évêché de Dorpat, affirmant que chaque homme adulte donnait un mark à Pskov lorsque celle-ci était indépendante[18]. Il force les deux partis à se réconcilier à son camp de Pasvalys en septembre 1557[16]. L'accès suédois au commerce de la Baltique est limité par les possessions danoises au sud de son territoire et son manque de ports qui soit libre des glaces toute l'année[15]. 16 commentaires information Cher lecteur, pour laisser des commentaires sur … La raison en est la capture de Smolensk pendant la guerre russo-lituanienne et l'inclusion de la ville dans l'État russe. La guerre de Livonie est un conflit militaire qui a opposé de 1558 à 1583 la Russie à une alliance formée du Danemark, de la Suède, du grand-duché de Lituanie et du royaume de Pologne (les deux derniers fusionnant en 1569 pour former une fédération).L'objectif était la prise de contrôle de la Confédération livonienne correspondant aux actuelles Estonie et Lettonie. Guerre russo-polonaise de 1792. Après son retour en Pologne en 1784, Kościuszko tenta sans grand succès d'administrer la propriété familiale avant de rentrer dans l'armée polono-lituanienne. Le nouveau port d'Ivangorod, construit par le tsar Ivan le Terrible sur la rive orientale de la Narva en 1550, ne suffit pas en raison de ses bas-fonds[18]. Land de l'Extrême-Orient . 1558-1562 : la dissolution de l'Ordre livonien, 1562-1570 : la guerre nordique de Sept Ans, Guerre entre la Russie et la Pologne-Lituanie, Conséquences de la guerre nordique de Sept Ans, 1570–1577 : domination russe et royaume de Livonie, Contre-offensives de la Suède et de la Pologne, « En proie à des querelles intestines et menacée par les machinations politiques de ses voisins, la Livonie n'avait aucune chance de résister à une attaque, , « Livland und Polen-Litauen nach dem Frieden von Oliva (1660) », , « Zwischen Warschau und Dünaburg. Après l'invasion russe, la Livonie cherche assistance auprès de l'empereur Ferdinand Ier, sans succès. Au cours des années 1570, le roi Jean III de Suède doit faire face à une offensive russe sur ses positions estoniennes[68]. Les troupes suédoises poursuivirent leur avancée dans la Prusse royale et la République des Deux Nations accepta les gains suédois en Livonie dans le traité d'Altmark[99]. Ces défaites et la défection d'André Kourbski poussent Ivan IV à déplacer sa capitale à Aleksandrov, tandis que ses opposants présumés sont pourchassés par les opritchniki[39]. Guerre Randonnée 1368 de l'année. D'après les termes de la paix de Jam Zapolski de 1582 qui met fin à la guerre entre la Russie et la Pologne-Lituanie, la Russie doit céder toutes ses anciennes possessions en Livonie ainsi que Polotsk à la Pologne-Lituanie. Quand Kokenhusen (Koknese) se rendit à Magnus pour éviter de combattre l'armée russe, le tsar pilla la ville et exécuta ses gouvernants allemands[56]. Dès le début de la guerre soviéto-polonaise (1919-1921) la plus grande partie du territoire lituanien est rapidement occupé par l'Armée rouge qui vainc et repousse les unités d'autodéfense polon… En 1563, les disputes entre le Danemark et la Suède entraînent le déclenchement de la guerre nordique de Sept Ans, qui se termine en 1570 avec le traité de Stettin[61]. Ses terres sont sécularisées et les duchés de Livonie et de Courlande sont rattachés au Grand-Duché de Lituanie. Les troupes russes échouèrent à reprendre la ville en février[81] et furent repoussés par une offensive suédoise visant Pernau (Pärnu), Dorpat et Novgorod. Elle arrive à Novgorod en septembre, mais Ivan IV refuse de la recevoir et l'oblige à négocier avec le gouverneur de Novgorod. Du point de vue d'Ivan IV, cela signifie simplement que les puissances impliquées dans le conflit vont nouer une alliance dirigée contre lui, puisqu'elles ne sont plus en conflit entre elles[67]. En juillet, Ivan IV accroît ses demandes : il exige Ösel en plus de Dorpat et de Narva. Cet échec a également été attribué à la difficulté de combattre durant les dures conditions hivernales[71]. Jasper von Munster s'enfuit en Lituanie, mais l'archevêque et son coadjuteur sont capturés et détenus à Adsel et Treiden. En juillet 1569, Jean III envoie un délégation menée par Paul Juusten, l'évêque d'Åbo, en Russie[58]. Les demandes russes sont intégralement rejetées, et le conflit reprend[60]. Les guerres russo-lituaniennes (XVIe – XVIIe) entre les sources de l’époque et les historiens d’aujourd’hui [in] Cahiers du monde russe. Pyotr Wrangel (1878-1928) était un officier militaire russe ayant servi dans l'armée Guerre russo-japonaise et Première Guerre mondiale.Il a ensuite commandé le Armée blanche dans le sud de la Russie au cours de la Guerre civile.. Wrangel est né dans la ville lituanienne de Novalexandrovsk dans une famille noble d'origine allemande. Lorsque les forces d'Éric XIV s'emparent de Pernau en juin 1562, ses diplomates proposent une protection suédoise de Riga, ce qui entraîne des tensions avec Sigismond II[39]. Batory demanda alors à un allié proche et un membre puissant de sa cour, Jan Zamoyski de mener une force de 48 000 soldats dont 25 000 Lituaniens contre la forteresse de Velikié Louki qui fut prise le 5 septembre 1580[83]. Des négociations menées par le légat du pape, le jésuite Antonio Possevino aboutirent en 1582 à la paix de Jam Zapolski entre la Russie et la République des Deux Nations[87]. Articles détaillés : Liste des guerres de la République romaine, Raids gaulois en Italie et Guerre servile. La Suède conserve ses territoires livoniens et la guerre continue[66]. La dissolution de la Confédération livonienne par la Russie entraine l'entrée en guerre de la Pologne-Lituanie, de la Suède en 1559 et du Danemark en 1561. Depuis l'introduction de la Réforme en Livonie dans les années 1520, le luthéranisme progresse graduellement dans la région, ce qui entraîne un schisme au sein de l'ordre, où certaines factions restent fidèles à l'Église catholique romaine[5]. … Afin de conserver l'autonomie lituanienne, certains nobles lituaniens proposent un candidat russe, mais les électeurs rejettent les conditions posées par Ivan IV et choisissent Henri de Valois (Henryk Walezy), le frère du roi Charles IX de France[54]. Néanmoins, la Suède prospère grâce à ses exportations de bois, de fer et de cuivre. Cependant la mort de Maximilien en octobre 1576 permit d'éviter une escalade du conflit[78]. Les seules institutions communes de Livonie sont des assemblées régulières, les landtags[1]. En octobre, Sigismond II s'allie avec le Danemark et Lübeck contre la Suède[39]. Cependant, la contre-offensive s'enlisa lors du siège de Wesenberg en 1574 lorsque les unités écossaises et allemandes de l'armée suédoise s'attaquèrent mutuellement[70]. La marine du Danemark, la plus puissante de la Baltique, contrôle l'accès à cette mer par le détroit de l'Øresund[12], collecte les droits de passage[13] et contrôle les points stratégiques que sont les îles de Bornholm et de Gotland[12]. En 1581, Zamoyski entama le siège de Pskov, une forteresse puissamment fortifiée et bien défendue. Son armée pille Vitebsk et s'empare de Polotsk en 1563 après une série d'escarmouches[39]. Le plus souvent, ils se bornent à reproduire leurs sources, suscitant ainsi la colère, l’indignation et le chagrin. Vers cette même période, Éric XIV et Ivan IV commencent tous deux à présenter des signes de troubles mentaux et le tsar russe se tourne contre la noblesse et le peuple au cours de l'opritchnina qui plonge la Russie dans le chaos et la guerre civile[39]. Guillaume et Christophe cherchent à favoriser les intérêts d'Albert en Livonie, notamment à travers la fondation d'un duché héréditaire de Livonie sur le modèle prussien[9]. Le Duché de Courlande au sud de la Daugava issu des traités de paix connu une période de stabilité politique basée sur le traité de Vilnius de 1561 modifié par les Formula regiminis et Statuta Curlandiæ de 1617 qui accroissaient les droits des nobles locaux aux dépens du duc[90]. Une guerre non reconnue signifie que la Russie doit s’en tenir à une guerre limitée, ou une guerre d’usure. La guerre russo-japonaise se déroule du 8 février 1904 au 5 septembre 1905.Elle oppose l'Empire russe à l'Empire du Japon, lequel, victorieux, en tira par le traité de Portsmouth une petite partie du sud de la Mandchourie et la moitié de l'île de Sakhaline. seulement deux guerres: la guerre russo-turque précitée de 1676-1681 ans, et aussi le premiercampagnes de Crimée de 1687 et 1689 de.Hélas, les raids ont continué le développement . Ne disposant pas de partisans forts en Livonie[20], l'archevêque est très dépendant de soutiens extérieurs. Plus tard, la désastreuse guerre russo-japonaise et les troubles révolutionnaires qui s’ensuivent, incitent le pouvoir à assouplir sa politique et à mettre fin, en 1904, à une interdiction qui, au demeurant, s’était avérée peu efficace. En 1569, la Pologne et la Lituanie s'unissent au sein de la république des Deux Nations par le traité de Lublin. Cette Confédération est composée de la branche livonienne de l'Ordre Teutonique, des principautés épiscopales de Dorpat, d'Ösel–Wiek et de Courlande, ainsi que de l'archevêché de Riga et de la ville même de Riga[1],[3]. Le Danemark domine la Baltique, et la Suède veut lui ravir cette puissance en s'emparant de territoires sur la rive orientale de la Baltique[42], ce qui lui permettrait de contrôler le commerce avec la Russie. Les garnisons de Sokol, Velizh et Usvzat furent ensuite rapidement battues[84]. La guerre russo-polonaise de 1792 par Aleksander Orłowski. Le reste des territoires de l’actuelle Ukraine restera sous contrôle polono-lituanien. Les Russes sont alors considérés par les paysans locaux comme des libérateurs vis-à-vis de la domination allemande sur la région[26]. La politique turque de Petro Dorošenko Documents du fonds de Wojciech Bobowski à la BNF. Elle continue ses activités marchandes, mais doit désormais affronter la concurrence des flottes d'Europe occidentale, et notamment celles des Dix-Sept Provinces néerlandaises[11]. Ses succès militaires durant la guerre russo-polonaise de 1792 n'empêchèrent pas le deuxième partage de la Pologne et il organisa un soulèvement deux ans plus tard. Cependant, cette compensation ne sera jamais versée, et Maximilien perd dès lors toute influence sur les affaires baltiques. Ils signent le traité de Pasvalys, qui prévoit la création d'une alliance militaire offensive et défensive, évidemment dirigée contre la Russie et qui est à l'origine de l'éclatement de la guerre de Livonie[16]. Le traité inclut le Privilegium Sigismundi Augusti par lequel Sigismond II garantit la liberté religieuse dans le respect de la confession d'Augsbourg, les Indygenat et la continuité de l'administration allemande traditionnelle[36]. Kettler devient le premier duc de Courlande et se convertit au luthéranisme[16]. LES GUERRES RUSSO-LITUANIENNES (XVIe-XVIIe) ENTRE LES SOURCES DE L’ÉPOQUE ET LES HISTORIENS D’AUJOURD’HUI Dans les descriptions que chroniqueurs et historiens donnent des guerres, l’un des tableaux les plus saisissants est sans doute celui des malheurs infligés aux popula-tions civiles. Le traité était une humiliation pour le tsar, non seulement car il l'avait demandé mais parce que la Russie devait rendre tous les territoires livoniens qu'elle occupait à la Pologne-Lituanie tandis que Polotsk restait sous le contrôle de la République. Ne réalisant pas que l'avancée polono-lituanienne s'était enlisée, Ivan IV signa la paix de Jam Zapolski[83]. 10. Campagnes d'Étienne Báthory, la ligne noire marque les frontières de 1600. Enter the email address you signed up with and we'll email you a reset link. L'année suivante, la paix de Plussa accorde à la Suède la plus grande partie de l'Ingrie, le nord de la Livonie et le duché d'Estonie. La guerre russo-suédoise de 1590-1595 se termina par le traité de Teusina (Tyavzino, Tyavzin) selon lequel la Suède devait céder l'Ingrie et le Kexholm à la Russie[93]. Plusieurs réunions russes se tiennent durant cette période, dont la Zemski sobor (le Congrès de la Terre), afin de débattre des questions en jeu[50]. Cet incident entraîne la capture et l'emprisonnement de Jean pour le compte d'Éric XIV en août 1563. À la suite d'une décision de Jean, la guerre avec la Russie se termina en 1583 avec la trêve de Plussa (Plyussa, Pljussa, Plusa)[87],[89]. La relation entre la Lituanie et la Grande Guerre est problématique et ambiguë à plusieurs égards. 8.2. Batory accéléra la formation des hussards, une nouvelle unité de cavalerie expérimentée qui remplaçait la levée féodale[83]. Des centaines de milliers de guerriers mongols, dirigés par Khan Batu (petit-fils de Gengis Khan), ont envahi les terres russes dans les années 1220-1230. You can download the paper by clicking the button above. Ordre de Saint-Vladimir Ordre de Sainte-Anne Ordre de Saint-Stanislas. Les princes russes de l’époque étaient déconnectés les uns des autres et empêtrés dans une rivalité perpétuelle pour le trône de Kiev, de sorte qu'ils ne pouvaient pas riposter efficacement. Les deux pays acceptent une trêve de sept ans en 1565[49]. Mais c’est outre-mer, au sein de la diaspora lituanienne, qu’un … Le reste des territoires de l’actuelle Ukraine restera sous contrôle polono-lituanien. L'échec du siège suédois de Narva en 1579 mena à la nomination de Pontus de La Gardie au poste de commandant en chef[85]. L'avance russe se termine par le sac de Weissenstein (Paide) en 1573 : après la chute de la ville, les assiégeants font brûler vifs quelques-uns des chefs de la garnison suédoise, dont son commandant. En somme, on a affaire à «la réponse russo-chinoise aux menaces américaines de durcissement des sanctions contre la Russie et à l’introduction de nouveaux droits de douane contre la Chine. La plus grande partie de la « guerre nordique de Sept Ans » (1563-1570) se déroule dans les pays de l'ouest de la mer Baltique[47], mais la Livonie reste stratégiquement importante[29]. En juin 1559, les territoires livoniens passent sous protection de la Pologne-Lituanie à la suite du premier traité de Vilnius. Le roi Éric XIV de Suède est renversé en 1568, après avoir participé au meurtre de nobles de la famille Sture (Sturemorden (sv)), et remplacé par son demi-frère Jean III[56]. En effet Sigismond III tentait d'intégrer l'Estonie suédoise au sein du duché de Livonie[94]. Elle bénéficie également d'une marine en pleine expansion et de la proximité des ports livoniens, situés de l'autre côté du golfe de Finlande[16]. Une conférence est prévue à Lübeck le 1er avril 1557, mais elle est annulée à la suite de querelles entre le roi Sigismond et les émissaires danois[23]. Kamenets-Podolsk, la perle sur le rocher: de la multiculturalité à l'amnésie, in Petites villes et bourgades en Europe centrale et orientale, 2008, Mémoires Frank : l’étonnant destin d’un témoignage historique de deux grands médecins liés à l’Alsace, La francophonie jésuite en Biélorussie aux XVIIIe-XIXe siècles. John leur offrit les châteaux de Hapsal, Leal et de Lode en caution mais lorsqu'il ne put les payer, ils furent vendus au Danemark[72]. Toute agression mécanisée plus lourde et en plusieurs étapes en Ukraine révélerait l’implication directe de la Russie dans la guerre à l’opinion intérieure ainsi qu’aux gouvernements étrangers les … Dans le même temps, la Russie sombrait dans une guerre civile (« Temps des troubles ») lors de la crise de succession d'Ivan IV. Parmi ses quelques alliés en Livonie, on peut citer le landmarschall Jasper von Munster, avec lequel il planifie en avril 1556 une attaque contre ses opposants qui impliquerait l'aide militaire de Sigismond II et d'Albert[22]. 8.1. L'alliance polono-suédoise commença à se fissurer quand le roi de Pologne et grand-duc de Lituanie Sigismond III, en tant que fils de Jean III de Suède (mort en 1592) et de Catherine Jagellonica prétendit au trône de Suède et rencontra l'opposition d'une faction menée par son oncle Charles de Södermanland (plus tard Charles IX) qui revendiquait la régence[93]. Cependant, Sigismond hésite : sa participation pourrait laisser la voïvodie de Kiev exposée à une attaque russe[22]. Dans le même temps, les Russes infligent une sévère défaite aux chevaliers livoniens lors de la bataille d'Ērģeme en août 1560. modifier - modifier le code - modifier Wikidata Diplômée de l' université de Lausanne , elle a été l'élève du chirurgien César Roux . Le tracé frontalier avec la Lituanie suit le cours du fleuve Niémen, où on trouve d’ailleurs le fameux site de Tilsit (aujourd’hui Sovietsk), où se déroula la rencontre en juillet 1807 entre Napoléon I er et l’Empereur russe Alexandre 1 … Au début du XXe siècle l’Etat lituanien n’existe pas en tant que tel, ce qui conduit la mémoire historique lituanienne à considérer ce conflit de grandes puissances européennes comme « étranger » au pays et à ses habitants. Employé comme adjectif. Cette intervention combinée du Danemark, de la Suède et de la Pologne en Livonie entraîne une période de lutte pour le dominium maris baltici, c'est-à-dire le contrôle de la Baltique[45]. Le duché de Livonie, lié à la Lituanie depuis l'union de Grodno (en) en 1566, passe sous condominium polono-lituanien[52]. Le tsar a profité de cette période de paix pour renforcer ses troupes en Livonie, et il attaque la Lituanie[39]. Les villes de Kexholm et de Padis furent prises par les Suédois en 1580[85] puis en 1581, simultanément à la prise de Wesenberg, une armée de mercenaires engagée par la Suède reprit la ville stratégique de Narva[85]. Sa part déclinante dans le commerce de la région l'empêche d'entretenir une flotte conséquente[13], et ses membres livoniens comme Riga, Reval et Narva sont dépourvus de toute réelle protection[14]. Guerre russo - turque de 1735 - 1739 Guerres russo - turques La guerre russo - turque de 1735 - 1739 La bataille de Țuțora aussi appelée bataille de Cecora opposa les forces de l Union polono - lituanienne et de la Principauté de Moldavie à une armée En 1576, Étienne Báthory devient roi de Pologne et grand-duc de Lituanie et renverse le cours de la guerre avec ses victoires entre 1578 et 1581 dont l'offensive conjointe avec la Suède lors de la bataille de Wenden. À la suite de la défaite des tatars et des forces nogaïes en 1572, l' opritchnina fut adoucie et l'organisation des armées russes fut modifiée[73]. Si les premières années de la guerre sont caractérisées par d'intenses combats, une période plus calme dure de 1562 à 1570, après quoi les hostilités regagnent en intensité[46]. Les landmeister et les gebietiger de l'Ordre, ainsi que les propriétaires terriens de Livonie, sont issus de la petite noblesse, et ils préservent leurs privilèges et leur influence en empêchant la création d'une grande noblesse plus puissante[7]. De même, il améliora les unités d'artillerie et recruta des cosaques[83]. Military Review dans Google Actualités. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La situation en Livonie n'évolua pas jusqu'en 1710 lors de l'annexion de la Livonie et de l'Estonie par la Russie au cours de la grande guerre du Nord, une annexion formalisée par le traité de Nystad de 1721[101]. En janvier 1560, Sigismond II envoya l'ambassadeur Martin Volodkov à la cour d'Ivan IV à Moscou pour tenter de mettre fin aux pillages menés par la cavalerie russe dans les campagnes de Livonie[34]. Charles IX expulsa les troupes polonaises d'Estonie et envahit le duché de Livonie ce qui déclencha une série de guerres entre les deux pays[95]. De la grandeur au coucher du soleil Guerres peu connues de l'Etat russe: "étrange" guerre russo-lituanienne 1487 - 1494. La Russie et la Suède, toutes deux occupées par ailleurs, ne souhaitent pas une escalade du conflit livonien[57]. La guerre polono-lituanienne est un conflit armé entre la Lituanie et la Pologne, au lendemain de la Première Guerre mondiale, peu de temps après que les deux pays ont recouvré leur indépendance. Le tsar révèle publiquement cette offre, soit parce qu'il l'envisage sérieusement, soit parce qu'il a besoin de temps pour renforcer ses troupes en Livonie[39]. Tout au long de l'année 1561, une trêve entre la Russie et la Lituanie (avec une fin prévue en 1562) est respectée par les deux parties[39]. En janvier 1558, Ivan réagit en envahissant la Livonie. Son expansion en Livonie se traduirait non seulement par le renforcement d'un rival politique, mais aussi par la perte de routes commerciales fructueuses[19]. Lorsque les Russes arrivèrent en vue de la ville, ils tombèrent sur une armée de secours composée de 6 000 soldats allemands, suédois et polonais[82]. Magnus tente d'étendre ses possessions en Livonie et établit un État vassal de la Russie, le Royaume de Livonie qui existe jusqu'à la fuite de Magnus en 1576. Outre Riga, les villes de Dorpat et Reval (Tallinn) et les possessions des chevaliers jouissent de privilèges qui les rendent quasiment indépendantes[3]. RésuméLorqu’ils décrivent les guerres, les historiens ne se privent pas d’impressionner et d’émouvoir leurs auditeurs en racontant les souffrances infligées aux civils. Ces récits reposent sans aucun doute sur des faits réels. Alors que dans l'historiographie lituanienne le conflit est considéré comme un conflit séparatiste effectué dans le cadre des guerres d'indépendance lituaniennes, dans d'autres traditions historiques (y compris polonaises et soviétiques), il est presque toujours considéré comme un évènement de la guerre russo-polonaise de 1920 [1], [2], [3], [4], [5], [6]. Nations sœurs craintes à l’époque moderne avant d’être des territoires occupés, Pologne et Lituanie font leur réapparition dans la communauté internationale à l’issue de la Première Guerre mondiale. Elle prend part à la guerre russo-japonaise , d'abord comme chirurgienne d'un train sanitaire de la société russe de la Croix-rouge , puis comme responsable d'un hôpital de campagne , et y développe de nouveaux protocoles de laparotomie . Le conflit s'aggrava lors des interventions suédoises et polonaises en Livonie qui déclenchèrent la une guerre entre les deux pays[95]. Sigismond II Auguste, roi de Pologne et grand-duc de Lituanie, est conscient des visées expansionnistes de la Russie. La guerre russo-lituanienne de 1500-1503 s'acheva par la victoire des Russes. En avril 1560, Frédéric II nomme son frère le duc Magnus de Holstein à ce poste. Sigismond II utilise le meurtre de son émissaire Lancki par le fils du landmeister comme prétexte pour envahir le sud de la Livonie avec une armée de 80 000 hommes. Les territoires suédois n'étaient cependant pas concernés et la Russie pouvait les conserver, en particulier Narva et Velike Luki que Batory rétrocédait à la Russie[87]. avec . La frontière russo-lituanienne au nord de l’enclave. Cela plongea la Suède dans une guerre civile en 1597 qui se conclut par la déchéance de Sigismond III par le riksdag (parlement) suédois[93]. Une trêve de six mois, couvrant la période entre mai et novembre, est signée entre la Russie et la Livonie. En dépit de ces mesures, les populations livoniennes ne se convertirent pas en masse tandis que les biens livoniens en Pologne-Lituanie étaient confisqués[92]. Dès sa nomination, Magnus poursuit ses propres intérêts : il achète l'évêché de Courlande sans l'accord de Frédéric et tente de s'étendre dans le Harrien–Wierland (Harjumaa et Virumaa). La même année, la Pologne profita de guerre de Kalmar entre le Danemark et la Suède pour reprendre tous les territoires conquis par les suédois[98]. Au cours de la bataille, les pertes russes furent lourdes avec de nombreux chevaux et canons capturés[82]. À ces divisions de l'administration politique s'ajoutent des rivalités persistantes entre l'archevêché de Riga et les landmeister de l'Ordre pour l'hégémonie[4],[1],[3]. Une nouvelle campagne qui commença avec la capture de Riga et l'expulsion des forces polonaises de Livonie vit la création du dominion de Livonie suédoise[94]. En 1562, la Russie et le Danemark signent le traité de Mojaïsk (en), par lequel ils reconnaissent leurs revendications réciproques et établissent des relations amicales ; en 1564, la Russie et la Suède concluent une trêve de sept ans[48]. Au cours de la guerre d'Ingrie, le successeur de Charles IX, Gustave II Adolphe reprit le contrôle de l'Ingrie, du Kexholm et d'une grande partie de la Livonie après le traité de Stolbovo de 1617[96]. Cependant, ils n'ont toujours pas réussi à s'emparer des grandes villes de Riga, Reval et Pernau[29]. Sigismond II, le premier roi de la République, meurt en 1572 sans laisser d'enfants. Au même moment, l'Ordre réclame d'être rétabli en Prusse (« Rekuperation »)[10] et s'oppose à la sécularisation de la Livonie[8]. Le conflit commence en août 1920. L'Estonie suédoise est établie malgré les invasions russes constantes et Frédéric II de Danemark achète le vieil évêché d'Ösel-Wiek qu'il place sous le contrôle de son frère Magnus de Holstein. Les guerriers mongols, entre 300 000 et 600 000, ont étouffé la défense des terres féodales russes. Lorsque la forteresse danoise de Varberg se rend aux Suédois en 1565, 150 mercenaires danois échappent au massacre de la garnison en ralliant la Suède[62]. L'historien Robert I. Cette intégration de la Zaporoguie au sein de la Russie sera actée par le traité de Pereïaslav de 1654, et déclenchera la guerre russo-polonaise (1654-1667), à l’issue de laquelle la Pologne doit céder à la Russie la rive gauche du Dniepr dont Kiev. Cette intégration de la Zaporoguie au sein de la Russie sera actée par le traité de Pereïaslav de 1654, et déclenchera la guerre russo-polonaise (1654-1667), à l’issue de laquelle la Pologne doit céder à la Russie la rive gauche du Dniepr dont Kiev. Si Eric XIV approuve ce mariage, il est contrarié lorsque Jean prête 120 000 riksdaler à Sigismond II et reçoit sept forteresses livoniennes en caution[44]. Les deux royaumes continuent à entretenir des relations tendues qui débouchent sur une série de conflits qui ne cesse qu'avec la Grande guerre du Nord en 1720[65]. Sigismond espère que la Livonie, tout comme le duché de Prusse, deviendrait vassale de la Pologne-Lituanie[21]. Il s'est encore renforcé grâce à l'annexion des khanats de Kazan (1552) et d'Astrakhan (1556). Au nord de la Daugava, Batory réduisit les privilèges que Sigismond avait accordé au Duché de Livonie[52]. A la 1ère guerre d’Irak,l’Italie a envoyé la Marine et les Tornados.A la 2ème, le contingent italien n’a pas du faire des étincelles,puisque le secrétaire d’état américain de l’époque, a dit au cema italien qu’ils ont été inutiles. RésuméLorqu’ils décrivent les guerres, les historiens ne se privent pas d’impressionner et d’émouvoir leurs auditeurs en racontant les souffrances infligées aux civils. Celle-ci est suivie par une campagne en Russie qui culmine avec le long et difficile siège de Pskov. Autres pistes du Holopherne biblique dans la guerre russo-lituanienne au XVIème siècle. Quelques mots au hasard. La Livonie est également touchée par la campagne navale du danois Per Munck, qui bombarde le port suédois de Reval en juillet 1569[64]. russo-lituanienne est employé comme adjectif féminin singulier. Batory ne parvint pas à convaincre la Suède de relâcher ses gains en Livonie, particulièrement Narva[87]. Lorsque la guerre de Livonie éclate, la Ligue hanséatique a déjà perdu son profitable monopole sur le commerce dans la mer Baltique[11]. Ces intérêts divergents sont l'une des causes de la guerre nordique de Sept Ans[42] : dès 1561, Frédéric II proteste contre la présence suédoise à Reval en rappelant ses droits historiques sur l'Estonie danoise[39]. Les nobles de Livonie cherchèrent la protection de Charles IX lorsque les combats reprirent dans la région. L'objectif était la prise de contrôle de la Confédération livonienne correspondant aux actuelles Estonie et Lettonie. Cela entraîna une campagne de représailles suédoise menée par Klas Åkesson Tott et Pontus de La Gardie[68]. Sigismond II entretient des relations étroites avec le frère d'Éric XIV, le duc Jean de Finlande (futur roi Jean III), et en octobre 1562, Jean épouse la sœur de Sigismond, Catherine, l'empêchant ainsi d'épouser Ivan IV[43]. Une mission diplomatique est dépêchée pour demander leur libération ; y participent les ducs de Poméranie, le roi du Danemark[22], l'empereur Ferdinand Ier et les États impériaux[23]. Le conflit fait partie d'un conflit plus large pour le contrôle des villes de Vilnius (en polonais : Wilno), Suwałki et Augustów. Les privilèges de Riga avaient déjà été réduits par le traité de Drohiczyn de 1581[91]. En 1590, la trêve de Plussa entre la Russie et la Suède expira et les combats reprirent[89].
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