La présente revue tente de synthétiser l’état actuel de nos connaissances en soulignant les pistes suivies pour améliorer encore les résultats thérapeutiques actuellement fort encourageants. Bien que le LDGCB soit un type de LNH qui évolue rapidement, la chimiothérapie est efficace pour de nombreuses personnes. Si le LDGCB réapparaît après avoir été traité ou s’il ne répond pas au traitement, on administrera les agents chimiothérapeutiques suivants : Le traitement ciblé a recours à des médicaments pour cibler des molécules spécifiques (comme des protéines) situées à la surface des cellules cancéreuses. Cependant, il n’a pas été prouvé que la réalisation systématique de tels examens permette une amélioration de la survie.46 La TEP ne fait pas partie des examens à réaliser lors du suivi.45. On a recours à la chimiothérapie pour traiter tous les stades du LDGCB. Organisme de bienfaisance enregistré : 118829803 RR 0001, Lymphome non hodgkinien - Lymphome diffus à grandes cellules B, lymphome médiastinal primitif à grandes cellules B, lymphome intravasculaire à grandes cellules B, International Cancer Information Service Group, Ressources sur le cancer et la COVID-19 (coronavirus), Contactez-nous – Nous sommes là pour vous aider, encéphale ou moelle épinière (système nerveux central, ou SNC), R-GDP – gemcitabine (Gemzar), dexaméthasone (Decadron, Dexasone), cisplatine (Platinol AQ) et rituximab, R-DHAP – dexaméthasone, cytarabine (Cytosar, Ara-C), cisplatine et rituximab, PEPC – prednisone, étoposide (Vepesid, VP-16), cyclophosphamide et procarbazine (Natulan), R-ICE – ifosfamide (Ifex), carboplatine (Paraplatin, Paraplatin AQ), étoposide et rituximab. Lymphome diffus à grandes cellules B. Lymphomes B diffus à grandes cellules (LBDGC) • 30 à 40% lymphomes de l’adulte • 4 à 5000 nouveaux cas par an en France • Grande hétérogénéité morphologique, biologique et clinique • Evolution spontanée « agressive » les dernières actualités sur les nouveautés en médecine, les Colloques du mardi du Département des spécialités de médecine des HUG. D’autres réarrangements lui sont souvent associés («double hit» : c-MYC et BCL6 ou BCL2, voire «triple hit» : c-MYC, BCL6 et BCL2).1 L’ensemble de ceux-ci assombrissent le pronostic.2 Le coefficient de prolifération cellulaire Ki67 est le plus souvent supérieur à 40% et peut atteindre 90%, rendant nécessaire le diagnostic différentiel avec le lymphome de Burkitt (tableau 2).3 Enfin, l’analyse de l’expression des gènes par les cellules lymphomateuses (Profil d’Expression Génique, GEP) a permis de définir deux sous-entités : les lymphomes constitués de cellules ressemblant soit à celles observées au niveau du centre germinatif (Geminal Center-like, GC), soit aux lymphocytes activés (Activated B Cell-like, ABC).4, Distinction entre LBDGC, Lymphome de Burkitt (LB) et Lymphome intermédiaire entre LBDGC et LB. Les cellules du lymphome sont également dispersées dans tous les ganglions et les tissus lymphatiques. On parle alors du protocole R-CHOP, soit l’association chimiothérapeutique CHOP et le rituximab (Rituxan). © 2021 Société canadienne du cancer. The role of positron emission tomography is essential during the initial staging and post treatment assessment, and potentially at early- or mid-treatment evaluation of response. En France, on recense chaque année environ 3 500 nouveaux cas de LDGCB. a maximum 2 mg dose totale ; b J1 = J29 de la dernière cure de R-ACVBP ; c J1 = J15 de la dernière cure de méthotrexate ; d J1 = J15 de la dernière cure de R-ifosfamide-étoposide ; e J0 = jour de réinfusion des cellules souches ; * rescue par acide folinique ; ** prévention de la cystite hémorragique par uromitexan. Il affecte un peu plus souvent l'homme. Les lymphomes diffus à grandes cellules B (LDGCB ou DLBCL) sont la forme la plus fréquente des lymphomes malins non hodgkiniens. Accueil > Boite à outils > Index pronostic International des lymphomes B diffus à grandes cellules et R-IPI Index pronostic International des lymphomes B diffus à grandes cellules et R-IPI admin 2020-12-20T01:12:08+01:00 Le lymphome B centrofolliculaire (LBCF) primitivement cutané est un lymphome non agressif et de bon pronostic. Quand le LDGCB apparaît dans un testicule, il est possible qu’on administre une radiothérapie à l’autre testicule également afin de prévenir la propagation des cellules du lymphome. Enfin, un réarrangement impliquant le proto-oncogène c-MYC s’observe dans 10% des cas. Comme toute pathologie lymphomateuse, le diagnostic repose sur l’analyse histologique d’une biopsie ganglionnaire ou, plus rarement, d’une biopsie de moelle osseuse. Les cellules du lymphome sont également dispersées dans tous les ganglions et les tissus lymphatiques. La symptomatologie remontait à 2 mois, marquée par l'augmentation du volume de la bourse droite, associée à une douleur progressive et à un amaigrissement estimé à 10 kg. La négativité de la TEP permet d’affirmer la rémission complète, information très pertinente chez les patients présentant des masses résiduelles en imagerie conventionnelle.45 A l’inverse, toute masse métaboliquement «active» doit être rebiopsiée pour affirmer la persistance de tissu tumoral.46. L'association chimiothérapeutique la plus souvent administrée comme traitement initial du LDGCB est appelée CHOP et est composée des médicaments qui suivent : On administre habituellement la chimiothérapie avec un médicament ciblé. Les composants de cette polychimiothérapie, leurs posologies et leurs fréquences d’administration dépendent de la présentation clinique et de variables pronostiques préthérapeutiques. Accès libre aux numéros de la Revue Médicale Suisse depuis 2000. On retrouve dans 20% des cas, une translocation impliquant BCL2, gène codant pour une protéine anti-apoptotique. Le médicament employé est le méthotrexate. Les lymphocytes B … Echelle d’activité de l’Eastern Oncology Group (ECOG), Depuis 1993, l’index pronostique international (IPI), tenant compte de cinq variables préthérapeutiques (âge, nombre de localisations extraganglionnaires, stade, indice de performance et taux de LDH), permet de déterminer le pronostic du malade et le traitement devant être administré (tableau 4).10 Les trois dernières variables permettent de déterminer le traitement à proposer au patient qu’il soit âgé de moins ou plus de 60 ans. Le LDGCB est très sensible à la chimiothérapie, alors on y a recours comme traitement principal. En cas d'allaitement ? Afin d’atteindre ces effectifs en un temps court, la collaboration de grands groupes collaborateurs est indispensable. En cas de rechute, la greffe de cellules souches du sang périphérique reste la seule chance de guérison. On peut proposer une immunothérapie appelée thérapie par lymphocytes T à CAR aux personnes atteintes d’un LDGCB qui ne disparaît pas après le traitement ou qui réapparaît après d’autres traitements. L'examen clinique trouvait un patient apyrétique et en bon état général. L'électrocardiographie comme outil diagnostique, et comme moyen d’analyse dans diverses implications cliniques, thérapeutiques et pronostiques. d) Prophylaxie neuro-méningée •Il doit son nom à l’apparence des cellules cancéreuses qui sont grandes et réparties dans une vaste région. En Europe, ses indications lors du traitement de première ligne sont moindres. La thérapeutique actuelle recourt à une immunochimiothérapie couplant le rituximab à la polychimiothérapie dont les composants, leurs posologies et leurs fréquences d’administration dépendent de variables pronostiques préthérapeutiques mondialement reconnues. Comme cité ci-dessus, l’administration d’une préphase peut permettre une amélioration significative de l’état général du malade, compatible avec l’administration du traitement. Lanalyse cytologique met en évidence un envahissement diffus par une population de cellules tumorales lymphocytaires de phénotype B, centroblastiques, immunoblastiques ou anaplasiques. Comme toute pathologie lymphomateuse, le diagnostic repose sur lanalyse histologique dune biopsie ganglionnaire ou, plus rarement, dune biopsie de moelle osseuse. On y a recours si la maladie est encore présente sur une petite surface ou si des tumeurs mesurant au moins 10 cm de diamètre sont présentes dans d’autres régions (maladie volumineuse). 2012; volume 8. Le lymphome diffus à grandes cellules B (LDGCB) est le type de lymphome non hodgkinien (LNH) le plus courant. Au sein du LySA comme du Groupe allemand des lymphomes agressifs (German High-Grade Non-Hodgkin Lymphoma Study Group), les patients de moins de 60 ans, porteurs d’une maladie de bon pronostic (IPI adapté à l’âge, «aaIPI» = 0) sont traités par six cures de «R-CHOP21» (rituximab-cyclophosphamide, adriamycine, vincristine, prednisone), administrées tous les 21 jours.20,21 Une alternative pour ces patients est une association de trois cures de «R-CHOP21» suivie de radiothérapie et constitue la référence aux Etats-Unis.22,23 Les taux de survie sans progression à trois ans obtenus grâce à ces protocoles sont supérieurs à 90%. Les patients de plus de 80 ans gardant un bon état général doivent être soignés avec une optique curatrice. Chaque semaine, découvrez un nouveau thème pour la formation continue et des actualités médicales. Certains types de lymphome B qui évoluent lentement (indolents) peuvent se transformer en LDGCB. Rev Med Suisse La dernière année en accès réservé aux abonnés. Avant de débuter le traitement proprement dit, une «préphase» comportant corticoïdes et vincristine peut être administrée et permettre d’achever le bilan initial, de limiter le risque de complications liées à la lyse tumorale et d’améliorer l’état général du malade, dernier point primordial pour les sujets âgés. Lymphome folliculaire, Lymphome diffus à grandes cellules B, lymphome de la zone marginale, lymphome du manteau, maladie de Waldenström, lymphome lymphoblastique, lymphome de Burkitt.... Il existe de nombreuses formes de LNH. Il est possible que le LDGCB réapparaisse (récidive) après qu’on ait administré les premières séances de traitement. L’analyse cytologique met en évidence un envahissement diffus par une population de cellules tumorales lymphocytaires de phénotype B, centroblastiques, immunoblastiques ou anaplasiques. Différents substituts, basés sur l’analyse de marqueurs immunophénotypiques, pourraient être plus aisément utilisés en clinique.17-19. Le lymphome diffus à grandes cellules B (DLBCL) est la forme la plus courante de lymphome non hodgkinien (LNH). LBDGC : lymphome B diffus à grandes cellules ; aaIPI : index pronostique international adapté à l’âge ; R-CHOP : rituximab, cyclophosphamide, adriamycine, vincristine, prednisone ; «21» : une cure tous les 21 jours ; R-ACVBP : rituximab, adriamycine, vindésine, bléomycine, prednisone ; «14» : une cure tous les 14 jours ; MTX : méthotrexate ; IT : intrathécal ; R- : rituximab ; BEAM : BCNU, étoposide, aracytine, melphalan ; RC : rémission complète. Évoluant rapidement, le lymphome diffus à grandes cellules B est dans la majorité des cas traité par chimiothérapie et ce, à tous les stades. La greffe de cellules souches peut être une option si le LDGCB a répondu à la chimiothérapie auparavant. Les contrôles biologiques sont réalisés trimestriellement la première année, à deux ans après la fin de traitement puis uniquement en cas de symptôme ou signe clinique alarmant. Si nous ne pouvons pas vous joindre par téléphone, nous vous laisserons un message vocal. Le tractus gastro-intestinal (GI), ou tube digestif, comprend la bouche, le pharynx (gorge), l’œsophage, l’estomac, l’intestin grêle et le gros intestin. La dernière classification de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) regroupe sous le vocable «LBDGC» un nombre de plus en plus grand d’entités dont les caractéristiques anatomocliniques diffèrent (tableau 1).1 Les LBDGC du système nerveux mis à part, la prise en charge thérapeutique actuelle ne dépend que très peu des données anatomopathologiques et reste basée sur une immunochimiothérapie couplant le rituximab, anticorps monoclonal dirigé contre le CD20 présent à la surface des cellules tumorales, à la polychimiothérapie comportant, notamment, alkylant, anthracycline et prednisone. lymphome diffus a grandes cellules type B cerebral; Forum lymphome diffus a grandes cellules type B cerebral. En Allemagne, d’aussi bons résultats sont obtenus après réalisation, dans cette situation, de six cures de «R-CHOP21», suivies d’une consolidation par radiothérapie centrée sur les lésions dont le diamètre au diagnostic est supérieur à 7,5 cm ainsi que sur les lésions extraganglionnaires.21 Le protocole allemand «Unfolder» compare l’efficacité d’un traitement fait de six cures de «R-CHOP21» ou de «R-CHOP14» et permettra de déterminer l’intérêt d’un raccourcissement de l’intervalle entre les cures de chimiothérapie. Retrouvez ici toutes les informations utiles aux auteurs de la Revue Médicale Suisse. Depuis 1980, le traitement de première ligne ne cesse d’évoluer suite à une amélioration constante de la compréhension de la pathogenèse, l’arrivée sur le marché de nouvelles molécules et l’amélioration des soins supportifs. Cette revue synthétise l’état actuel de nos connaissances et souligne les pistes suivies pour améliorer les résultats thérapeutiques actuels. Représentant 25 à 30% des lymphomes non hodgkiniens, le lymphome B diffus à grandes cellules (LBDGC) est le lymphome le plus fréquent. Il homologué en association à la bendamustine et au rituximab, est indiqué dans le traitement des patients adultes présentant un lymphome diffus à grandes cellules B (LDGCB) en rechute ou réfractaire, non candidats à une greffe de cellules souches hématopoïétiques. La cytarabine, notamment sous sa forme lyposomiale (DepoCyte), est une autre substance intéressante dans cette indication. Il est possible qu’on administre la prophylaxie du SNC par chimiothérapie intrathécale, c’est-à-dire que l’agent chimiothérapeutique est injecté directement dans le liquide céphalorachidien (LCR). Diffuse Large B Cells Lymphoma (DLBCL) is the most common non-Hodgkin lymphoma and comprises a large number of different entities with different clinico-pathological characteristics. Toute symptomatologie suspecte doit motiver l’hématologue à rechercher la réapparition d’une masse tumorale. Un contingent lymphocytaire T peut se rencontrer comme la présence de follicules résiduels, argument en faveur de la préexistence d’un lymphome folliculaire. Le LySA (Lymphoma Study Association) a récemment intégré la notion de réponse métabolique précoce pour sélectionner les patients éligibles pour une autogreffe, > L’adjonction de méthotrexate doit être prise en considération chez le malade présentant un risque élevé de rechute cérébrale, > La tomographie à émission de positrons (TEP) est un outil indispensable lors du bilan initial et de l’évaluation post-thérapeutique, > En cas de rechute, l’autogreffe de cellules souches constitue la seule chance de guérison des malades de moins de 60 ans. Ce sont entre autres ceux-ci : Dans le cas du LDGCB, les ganglions lymphatiques deviennent plus gros que la normale, c’est pourquoi on peut les sentir au toucher. Il s'agit d'un lymphome agressif, au même titre que : Avant cette intensification, un traitement de rattrapage comportant un sel de platine est indiqué.48 Le «R-DHAP21» (rituximab-dexaméthasone, aracytine à fortes doses et cisplatine), administré tous les 21 jours, semble avoir une efficacité supérieure au «R-ICE» (rituximab-ifosphamide, carboplatine, étoposide, administré tous les 21 jours) pour les patients porteurs d’un lymphome de type «GC-like».49 Au vu de ses résultats prometteurs, l’allogreffe précédée d’un conditionnement non myéloablateur peut être proposée aux malades de moins de 75 ans gardant un bon état général, soit en consolidation après une autogreffe réalisée en deuxième ligne, soit pour les malades ayant été autogreffés en première ligne, après un traitement de rattrapage constitué de trois à quatre cures de «R-DHAP21».50 Chez les patients de moins de 65 ans, en réponse partielle après une autogreffe réalisée en deuxième ligne, un traitement de troisième ligne par six cures de «R-GEMOX21» (rituximab-gemcytabine, oxaliplatine, réalisée tous les 21 jours) peut améliorer la réponse et augmenter les chances de succès de l’allogreffe.51. First line therapy comprises immuno-chemotherapy with rituximab and different cytotoxic agents that differ for components, dosages and frequency of administration taking worldwide-recognized pre-treatment prognostic variables into account. Le traitement de ces malades est identique à celui des patients plus jeunes, à savoir six cures de «R-CHOP21». Une immunisation contre le VIH et les hépatites B et C doit être recherchée. En plus des principales espèces de lymphome à grandes cellules B diffuses (DLBCL), il existe des sous-types moins fréquents. En immunohistochimie, les cellules sont positives pour les CD19, 20, 22 et 79a. L’association rapportée des localisations de la sphère oto-rhino-laryngologique (ORL) et du tube digestif doit motiver l’hématologue à la réalisation d’une endoscopie digestive haute en cas de symptôme évocateur.8 Une ponction lombaire exploratrice est requise en présence de localisation mammaire, testiculaire, ORL, lorsque le patient présente plus de deux atteintes extraganglionnaires ou une atteinte médullaire et lorsque le lymphome survient dans le décours d’une infection par le VIH.9 Une évaluation cardiaque préthérapeutique (électrocardiogramme et échographie) est hautement recommandée. Le tisagenlecleucel (Kymriah) et l’axicabtagene ciloleucel (Yescarta) sont des thérapies par lymphocytes T à CAR approuvées comme traitement du LDGCB qui est réapparu après le traitement (récidive) ou qui ne répond pas au traitement (réfractaire) après au moins 2 autres traitements. A ce jour, 30% des patients porteurs d’un LBDGC sont réfractaires ou finissent par rechuter. Le rituximab est un médicament ciblé fréquemment administré seul ou associé à une chimiothérapie pour traiter le LDGCB. Terme qui désigne tout ce qui a rapport aux organes digestifs. Médicaments Doses Voies d’administration Jour(s) Durée de perfusion Préphase thérapeutique Prednisone 48 mg/m² IV 1 et 2 5 minutes Vincristine 1 mg DT IV 1 10 minutes R-CHOP Intervalle entre deux cures : 21 jours ou 14 jours Rituximab 375 mg/m2 IV 1 Variable Cyclophosphamide 750 mg/m2 IV 1 1 heure Adriamycine 50 mg/m2 IV 1 1 heure Vincristine 1,4 mg/m2 a IV 1 10 minutes Prednisone 40 mg/m2 IV/PO 1 à 5 IVD R-ACVBP 1. induction Intervalle entre deux cures : 14 jours Rituximab 375 mg/m2 IV 1 Variable Cyclophosphamide 1200 mg/m2 IV 1 1 heure Adriamycine 75 mg/m2 IV 1 1 heure Vindésine 2 mg/m2 IV 1 et 5 10 minutes Bléomicyne 10 mg/m2 IV 1 et 5 10 minutes Prednisone 60 mg/m2 IV 1 à 5 IVD Méthotrexate 15 mg DT IT 2 2. méthotrexate haute dose Intervalle entre deux cures : 14 jours Méthotrexate b * 3 g/m2 IV 1 1 heure 3. consolidation séquentielle Rituximab c 375 mg/m2 IV 1, 15, 29, 43 Variable Ifosfamide c ** 1500 mg/m2 IV 1, 15, 29, 43 1 heure Etoposide c 150 mg/m2 IV 1, 15, 29, 43 1 heure Cytarabine d 2 x 100 mg/m2 SC 1 à 4, 15 à 18 – BEAM BCNU 300 mg/m2 IV -7 e 1 heure Etoposide 100 mg/m2 IV -6 à -3 e 1 heure Aracytine 200 mg/m2 IV -6 à -3 e 2 heures Melphalan 140 mg/m2 IVD -2 e 1 heure R-miniCHOP Intervalle entre deux cures : 21 jours Rituximab 375 mg/m2 IV 1 Variable Cyclophosphamide 400 mg/m2 IV 1 1 heure Adriamycine 25 mg/m2 IV 1 1 heure Vincristine 1 mg DT IV 1 10 minutes Prednisone 32 mg/m2 IV/PO 1 à 5 IVD IV : intraveineux ; PO : per os ; IVD : intraveineux direct ; DT : dose totale ; IT : intrathécal ; SC : sous-cutané. Les lymphomes diffus à grandes cellules (DLBCL pour Diffuse Large B Cell Lymphoma), ou de haut grade de malignité, sont une … On peut aussi administrer la prophylaxie du SNC à l’aide d’une aiguille insérée dans une veine (intraveineuse).
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