Sans surprise, le parti indépendantiste FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste) a demandé jeudi à l'État français d'organiser un … En Nouvelle-Calédonie, le 3e référendum sur l'indépendance sera organisé "avant octobre 2022" Au sein des élus calédoniens, un consensus a été … les contextes politique et sanitaire ont remis en cause cette option. Puis l’accord de Nouméa, signé en 1998, prévoit que le référendum ait lieu entre 2014 et 2018, et puisse être suivi de deux autres[3],[4],[5]. Le 28 mars 2018, un compromis avait finalement été trouvé après des négociations entre le gouvernement d’Édouard Philippe et les différentes parties[23]. La progression du vote indépendantiste rend probable le recours à la possibilité de convoquer un dernier référendum[2]. Celui-ci est réclamé dès le 8 octobre par Victor Tutugoro, porte-parole du FLNKS, dans un contexte de visite à Nouméa de Sébastien Lecornu, ministre des Outre-mer, le lendemain. Le FLNKS annonce dés octobre 2020 son intention de provoquer la tenue du troisième référendum prévu par l'accord de Nouméa[29]. Ce Référendum fait suite à la consultation du 04 Novembre 2018. Le code électoral français interdisant à un bord politique de s'approprier cet emblème au cours d'une campagne électorale, celle du référendum de 2018 avait vu les indépendantistes utiliser massivement le drapeau du FLNKS sans que les loyalistes puissent y opposer le drapeau français. Les indépendantistes obtiennent finalement gain de cause, les anti-indépendantistes — qui demandaient l'inscription automatique de tous — obtenant cependant l'assurance que les individus concernés seront contactés individuellement pour leur rappeler la possibilité de leur inscription[26]. Depuis le 17 février, les membres du gouvernement collégial de Nouvelle-Calédonie tentent en vain d’élire un président en raison de dissensions entre indépendantistes, qui ont la majorité au sein de l’exécutif pour la première fois depuis le début de l’accord de Nouméa. L’accord de Nouméa prévoit la même question que lors des deux précédents scrutins: “Voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienne indépendante?”, ce qui suscite des réticences côté loyaliste. Avec une participation en hausse, le scrutin voit la victoire des non-indépendantistes qui, bien qu'en recul, réunissent un peu plus de 53 % des votants[2],[15]. Il s'agit du troisième des trois référendums prévus par cet accord signé en 1998, après celui de 2018 et celui de 2020, et du quatrième et dernier référendum organisé sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie, un premier ayant été organisé en 1987. Le sous-traitant en charge du service est The Hufffington Post Holdings (Etats-Unis). Le scrutin de 2018 — marqué par une forte participation (81,01 %) — voit les votants répondre « non » à 56,67 % à la proposition d'indépendance. À voir également sur Le HuffPost: La Nouvelle-Calédonie balayée par le cyclone Niran, Tous les matins, recevez gratuitement la newsletter du HuffPost, Pour suivre les dernières actualités en direct sur Le HuffPost, cliquez ici, Avec la newsletter quotidienne du HuffPost, recevez par email les infos les plus importantes et les meilleurs articles du jour. L’Etat dispose d’un délai de 18 mois pour organiser la consultation, qui interviendra après celle du 4 novembre 2018 remportée avec 56,7% par les partisans du maintien dans la France et celle du 4 octobre 2020, qu’ils ont également gagnée mais avec un score plus étroit de 53,3%. Dans un communiqué, le gouvernement "prend acte" et annonce un scrutin avant octobre 2022. L’État organisera ce référendum avant le mois d’octobre 2022.https://t.co/ipgDy2ZRel. Les habitants de l’archipel du Pacifique-sud ont dit une nouvelle fois « oui » à la France, dimanche 4 octobre, mais la dynamique électorale est du côté des partisans de l’indépendance. Le scrutin devra se tenir avant octobre 2022. Philippe Dunoyer, député UDI, a lui prôné « un référendum de rassemblement ». Nouvelle-Calédonie: Sébastien Lecornu réfléchit à un «nouveau statut» en cas de non au référendum de 2022 Dans un communiqué, le ministre des Outre-mers Sébastien Lecornu a indiqué “prendre acte” de la demande calédonienne, et s’est engagé à “organiser ce référendum avant le mois d’octobre 2022.” “Les préparatifs débuteront prochainement, en association étroite avec le comité des signataires institué par l’accord de Nouméa”, assure le ministère. “On se doit d’envisager le oui et le non. Pour plus d’information, consultez notre Politique de confidentialité. En 2022 se tiendra le troisième Référendum d’autodétermination de la Nouvelle-Calédonie, comme convenu dans les Accords de Nouméa de 1998. Le FLNKS, l'UNI et l'UC vont envoyer un courrier au représentant de l'État en Nouvelle-Calédonie pour demander la tenue d'un nouveau référendum en septembre 2022. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment ou exercer vos droits sur vos données auprès de notre Délégué à la protection des données. Ceux-ci, auxquels s’est jointe une élue d’un parti séparatiste minoritaire, représentent 26 élus sur 54. Les indépendantistes du FLNKS ont demandé ce jeudi que le troisième et dernier référendum sur l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie soit organisé en septembre 2022. Les résultats renouvellent le constat d'une importante disparité entre les votes des deux principales communautés, kanak et européennes, tandis que 17 % des électeurs vivant dans l'archipel sont exclus du scrutin, en accord avec les listes établies par l'accord de Nouméa. Au sein du Congrès élu pour la période 2019-2024, les indépendantistes détiennent ensemble 26 sièges sur 54, soit un peu plus de 48 % de ses membres. En effet, Nouméa et la province Sud, la plus riche, concentrent le vote pour le non à plus de 75 %. La question retenue pour le référendum sur l'indépendance de 2018, et conservée pour celui de 2020, est : « Voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienne indépendante ? En savoir plus. Le Premier ministre, Jean Castex, invite les dirigeants calédoniens à Paris du 25 mai au 3 juin 2021 « pour une session d’échanges et de travail » pour préparer l’après accord de Nouméa[33]. Lors du second référendum d'indépendance de la … Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Une option que refusent déjà les loyalistes mais que les indépendantistes disent vouloir mettre en oeuvre. Le "non" à l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie est arrivé en tête, dimanche 4 octobre, ... En cas de victoire du non, un troisième référendum est possible d'ici à 2022. People in the French overseas territory of New Caledonia have narrowly rejected independence from France in a referendum. Le référendum de 2022 sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie est un référendum d'autodétermination qui devrait avoir lieu en 2022 dans le cadre de l'Accord de Nouméa. ... nouvelle calédonie > Référendum, météo, nickel et déconfinement : l'actu à la 1 du vendredi 9 avril 2021; nouvelle calédonie. Depuis la date du 4 avril, soit six mois après le précédent scrutin du 4 octobre 2020, un minimum d’un tiers des élus du Congrès peut demander la tenue du troisième et dernier référendum inscrit dans l’accord de Nouméa. Conformément à l'accord de Nouméa, les indépendantistes demandent à l’État d'organiser un troisième et dernier référendum. selon les recommandations des projets correspondants. Son organisation est conditionnée par une demande du Congrès à partir du 4 avril 2021, jugée trè… Tous droits réservés. Le @gouvernementFR prend acte de la demande d’une troisième consultation électorale sur l’accession à la pleine souveraineté de la Nouvelle-Calédonie. Nouvelle-Calédonie : un référendum sous tension. Le scrutin voit s’opposer les deux courants du FLNKS: l’Union Calédonienne a présenté Samuel Hnépeune, jusqu’alors président du Medef, et l’Union nationale pour l’indépendance (UNI) a proposé Louis Mapou, actuel chef du groupe UNI-FLNKS au Congrès. La question posée aux Néo-Calédoniens avait fait l'objet d'un débat en 2018 pour le premier référendum entre indépendantistes et anti-indépendantistes concernant les expressions « pleine souveraineté » et « indépendance »[22]. Également contre “un référendum binaire”, Philippe Dunoyer, député UDI, a lui prôné “un référendum de rassemblement”. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) Nouvelle-Calédonie : l’étau se resserre, avant un 3e référendum en 2022 République et laïcité Publié le 5 octobre 2020 - par Marcus Graven - 16 commentaires La Nouvelle-Calédonie reste donc française pour les deux prochaines années. (...) Les Calédoniennes et les Calédoniens ont le droit de savoir pour quoi ils votent”, a déclaré jeudi le ministre des Outre-mer dans une interview conjointe au Monde et au quotidien local, Les Nouvelles-Calédoniennes. Évènements de 1984-1988 en Nouvelle-Calédonie, « Pacte trentenaire » en Nouvelle-Calédonie, « événements » des années 1980 en Nouvelle-Calédonie, Référendum de 2018 sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie, consultation de 1998 sur l’accord de Nouméa, Référendum de 2020 sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie, Loi organique relative à la Nouvelle-Calédonie, Élections provinciales néo-calédoniennes de 2019, Territoire français des Afars et des Issas, Scrutins en France sous la Cinquième République, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Référendum_de_2022_sur_l%27indépendance_de_la_Nouvelle-Calédonie&oldid=181815477, Article avec une section vide ou incomplète, Portail:Politique française/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Référendum de 2022 sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie. Référendum historique sur l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie Possible scrutin en 2021 ou 2022 Le scénario est fortement plausible. En vous inscrivant à ce service, vous acceptez que votre adresse mail sera utilisée par la société Huffington post, responsable de traitement, pour les finalités suivantes: gestion de votre inscription et envoi des newsletters, établissement de statistiques anonymes et règlement d’éventuels différends liés à l’utilisation du service. Si la proposition d'un report est initialement vue avec réticence par le camp non indépendantiste, qui souhaite en finir rapidement avec la période d'incertitude économique liée au référendum, une large majorité des élus se prononcent finalement sur une date plus tardive, proposant le 25 octobre[12],[13]. Les anti-indépendantistes espéraient une large victoire du « non » afin de voir annulée la tenue des deuxième et troisième référendums prévus par l’accord de Nouméa[6]. Après des négociations entre les différentes parties néocalédoniennes, les dates provisoires sont le 30 août ou le 6 septembre 2020[10], la deuxième date étant finalement retenue[11]. Alors que des divergences opposaient l’UNI et l’UC sur la date du troisième référendum, un consensus a par ailleurs été trouvé pour qu’il ait lieu en fin de période “en septembre 2022”, a-t-on indiqué de même source. La consultation porte sur le transfert à la Nouvelle-Calédonie des compétences régaliennes, sur l’accès à un statut international de pleine responsabilité et sur l’organisation de la citoyenneté en nationalité[20]. La demande officielle ne pouvant avoir lieu qu'à partir du 4 avril 2021, elle intervient le 8 avril, les deux groupes FLNKS au Congrès, l'UNI et l'UC, demandant la convocation d'un troisième référendum qui sera organisé en 2022, conformément à l'accord de Nouméa[30],[31]. La Nouvelle-Calédonie a de nouveau rendez-vous avec son histoire. Un recours est déposé devant le conseil d'État par des élus loyalistes, concernant neuf bureaux de votes pour 8 000 suffrages exprimés. Les loyalistes sont contre un troisième référendum qu'il nomme « un référendum binaire » et souhaitent négocier un nouvel accord dans le cadre d'un maintien sous souveraineté française[32]. La dernière modification de cette page a été faite le 12 avril 2021 à 05:27. Il existe une astuce toute simple, Il a nagé 500 kilomètres dans le “continent de plastique” et fait une découverte inquiétante, Les book nook, ces minis-mondes qui vont sublimer votre bibliothèque, Pourquoi les anticorps monoclonaux ne remplaceront pas les vaccins. © 2021 Le HuffPost SAS. Dans un contexte de forte participation (6,4 points de plus que lors de la consultation de 1998 sur l’accord de Nouméa), le « non » obtient un score moins important que prévu par les sondages. “Nous avons fait travailler les services de l’Etat sur les implications en matière monétaire, bancaire, sur le nickel, sur le lien avec la République, les questions de citoyenneté, les questions régaliennes… Tous ces documents seront communiqués et pourront être consultés par les différents acteurs”, a ajouté Sébastien Lecornu. Le référendum de 2022 sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie est un référendum d'autodétermination qui devrait avoir lieu en septembre 2022 dans le cadre de l'accord de Nouméa[1]. Après les « événements » des années 1980 en Nouvelle-Calédonie, un référendum se tient en 1987. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. ». Le gouvernement décide néanmoins de conserver un report à la date du 4 octobre, officialisée fin juin[14]. Nouvelle-Calédonie : 2e référendum d’autodétermination du 4 octobre 2020. consulter . Référendum en Nouvelle-Calédonie Moins de deux ans après la victoire du non à plus de 56 %, l’archipel français se prononce une nouvelle fois sur son indépendance. Pour satisfaire aux exigences des indépendantistes, le droit de vote est restreint aux citoyens résidant de longue date et de manière continue en Nouvelle-Calédonie, et exclut notamment les personnes installées après 1994. La question de l'inscription sur les listes de nouvelles personnes répondant à ces critères et ayant eu dix-huit ans depuis le référendum de 2018 fait l'objet d'intenses débats avant l'organisation du second référendum, les personnes de statut civil coutumier étant automatiquement inscrites, contrairement à celles de statut civil de droit commun qui doivent effectuer d'eux-mêmes la démarche d'inscription[25]. Quelque 35 950 électeurs inscrits sur la liste générale sont ainsi exclus du scrutin, soit 17 %[24]. « L’accord de Nouméa, quoiqu’il arrive en 2022, est terminé » a déclaré le ministre des Outre-mer, interrogé ce lundi matin par France inter, au lendemain du 2ème référendum d’indépendance en Nouvelle-Calédonie. Cette situation, décriée par les loyalistes, est corrigée par un décret gouvernemental « dans un souci d'équité » pour le scrutin de 2020. Les anti-indépendantistes obtiennent en revanche la possibilité de faire campagne avec le drapeau tricolore français. Le Bureau politique (BP) de la coalition indépendantiste a acté jeudi “une démarche unitaire” consistant en l’envoi au haut-commissaire de la République d’un seul courrier, signé des deux groupes FLNKS au Congrès, l’UNI et l’UC (Union Calédonienne), a indiqué à l’AFP Victor Tutugoro, membre du BP. La présence de jeunes indépendantistes en masse aux abords de certains bureaux de vote brandissant des drapeaux, caillassant les voitures et proférant parfois des insultes racistes a été notée et dénoncée par les responsables politiques anti-indépendantistes[16],[17],[18]. Il se peut que ces informations soient de nature spéculative et que leur teneur change considérablement alors que les événements approchent.La dernière modification de cette page a été faite le 12 avril 2021 à 05:27. Si le vote indépendantiste obtient un résultat plus important que prévu, il n'effectue pas de percée, mais est lié à une bonne mobilisation de l'électorat indépendantiste, attribuée à la campagne unitaire des deux courants du FLNKS[6]. La décision ne devrait pas changer le cours du scrutin, mais il s'agit pour les loyalistes d'une « question de symbole et de principe »[19]. Après un premier référendum en 2018, où le "non" avait obtenu 56,67% des suffrages, les habitants se … Redoutant une victoire de Marine Le Pen à l’élection présidentielle de 2022, l’UNI préconisait une organisation du scrutin dès 2021, mais les contextes politique et sanitaire ont remis en cause cette option. Le non a … Le Premier ministre, Jean Castex, a invité les dirigeants calédoniens à Paris du 25 mai au 3 juin prochains “pour une session d’échanges et de travail” pour préparer l’après Accord de Nouméa. Cependant l'écart entre loyalistes et indépendantistes se resserre. Ils souhaitent que le scrutin se tienne en septembre 2022. Le “oui” est donc en progression par rapport au référendum de 2018, lorsque le “non” à l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie l’avait remporté avec 56,7% des voix. Référendum en Nouvelle-Calédonie Nouvelle-Calédonie : deux autres référendums d'ici à 2022 ? La Nouvelle-Calédonie reste française. À la mi-juin 2019, une majorité des membres du Congrès demandent l'organisation de cette nouvelle consultation, qui pourrait avoir lieu au second semestre 2020[9]. La demande officielle ne pouvant avoir lieu qu'à partir du 4 avril 2021, elle intervient le 8 avril, les deux groupes FLNKS au Congrès, l'UNI et l'UC, demandant la convocation d'un troisième référendum qui sera organisé en 2022, conformément à l'accord de Nouméa. Le" non" est arrivé en tête dimanche du second référendum sur l'indépendance. ... En cas de nouveau refus de l’indépendance, une troisième est encore possible d’ici à 2022. En cas de victoire du non, un troisième référendum est possible d'ici à 2022. POLITIQUE - Les indépendantistes du FLNKS ont demandé ce jeudi 8 avril à l’Etat l’organisation du troisième et dernier référendum sur l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie prévu par l’accord de Nouméa (1998), qui organise la décolonisation progressive du “Caillou”. Le Premier ministre Édouard Philippe propose ainsi fin mai de reporter le scrutin au 4 octobre 2020. Il s'agit du troisième des trois référendums prévus par cet accord signé en 1998, après celui de 2018 et celui de 2020, et du quatrième et dernier référendum organisé sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie, un premier ayant été organisé en 1987. En raison des restrictions de circulation causée par la pandémie de Covid-19 ainsi que du report au 28 juin du deuxième tour des élections municipales que celle ci entraine — resserrant les périodes de campagne électorale — un report du scrutin est évoqué. Selon les résultats officiels définitifs, le «non» au référendum sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie du 4 octobre l'emporte, avec 53,26% des voix. Référendum de 2022 La progression du vote indépendantiste rend probable le recours à la possibilité de convoquer un troisième et dernier référendum. L'article 217 de la loi organique no 99-209 du 19 mars 1999 relative à la Nouvelle-Calédonie prévoit alors un mécanisme où le tiers des membres du Congrès de la Nouvelle-Calédonie peut, à compter du sixième mois suivant la consultation (soit le 5 mai 2019), demander l'organisation de deux nouvelles consultations dans les deux et quatre ans après le premier référendum[8]. Pour pouvoir voter, il faut d'abord être inscrit sur la liste électorale générale et sur la liste électorale pour la consultation sur l'accession de la Nouvelle-Calédonie à la pleine souveraineté (LESC).
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